Le pouvoir du congrès de l’ACPEQ
Au printemps dernier une petite graine enfouie profondément avec mes autres connaissances commençait à germer. Elle s’appelait l’école-maison. Je l’ai accueillie avec enthousiasme et j’ai commencé à l’arroser quotidiennement en m’informant de plus en plus sur ce sujet. J’ai vite réalisé que c’était un projet d’envergure qui nécessitait une réalisation dans laquelle je n’avais pas beaucoup de marge de manœuvre puisque mes enfants étaient à ce moment-là en secondaire 4 et en secondaire 2. Plus je m’informais, plus je réalisais que c’est complexe et que, pour la réussite de notre projet, j’avais besoin de beaucoup plus que les informations lues.